Forme majeure: encéphalo-méningo-myélite toxoplasmique. Elle est devenu très rare depuis la mise en place du dépistage au cours de la grossesse dans les années 70. Elle associe une modification de la taille de crâne, des signes neurologiques, des calcifications intra-crâniennes et des signes oculaires (choriorétinite ++). L’évolution est sévère.
Formes viscérales: ictère néo-natal, hépato-spléno-mégalie, anasarque.
Formes viscérales: ictère néo-natal, hépato-spléno-mégalie, anasarque.
Formes dégradées ou retardées: les signes en sont un retard psycho-moteur, une macrocéphalie, des crises convulsives, une choriorétinite.
Formes inapparentes ou infra-cliniques: ce sont actuellement les plus fréquentes (80% des cas). Elles sont aussi appelées « formes sérologiques » car seule la sérologie de l’enfant prouve qu’il est infecté. Le risque clinique principal est l’apparition de choriorétinites dans l’enfance, l’adolescence ou à l’age adulte.